Liberation Day : camarades, il est temps de nous libérer 🇫🇷 !

Françaises, Français, chers compatriotes,

Depuis trop longtemps, notre beau pays, terre de gastronomie, de culture et de résistance — cette nation qui a donné au monde les droits de l’homme, le camembert et Zinédine Zidane — ploie sous le joug insidieux de l’impérialisme américain. Un genou à terre, comme dirait notre cher Mbappé.

Trop, c’est trop ! Il est temps de retrouver notre indépendance, de renouer avec notre savoir-faire, de marcher fièrement vers un avenir tricolore !

Regardez-vous, mes chers compatriotes. Regardez ce que vous êtes devenus. Vous tapotez frénétiquement sur vos iPhones tout en sirotant votre Coca light, vêtus de votre sweat à capuche Gap, avant d’aller déguster un Whopper.

EST-CE CELA QUE NOUS VOULONS POUR LA FRANCE ?

Bien sûr, ce ne sera pas facile. Il faudra du courage, du sacrifice, de la résilience. Il faudra dire adieu aux plaisirs coupables du Big Mac et de la dernière série Nullflix. Mais nous sommes un peuple de bâtisseurs, d’inventeurs, de résistants ! Nous avons même survécu tous ensemble au COVID. Alors, relevons le défi ensemble et voyons ce que pourrait être une France disruptive, libérée de l’influence américaine.

NOTRE PROGRAMME DE TRANSITION NATIONALE

À la place de Coca-Cola : Oasis. Bon, on reste sur du liquide très sucré (l’équivalent de 7 morceaux de sucre par canette) avec des arômes artificiels, mais cette fois, c’est français. Et c’est bien connu, le sucre français est meilleur que le sucre américain. C’est notre exception culturelle.

À la place de McDonald’s : la boulangerie du coin. Le jambon-beurre reste une valeur sûre. À 8€ dans les centres-villes, il est désormais aussi cher qu’un menu Big Mac, mais quelle fierté de se ruiner pour du patrimoine immatériel ! Avec une part de flan pâtissier à 6€, histoire de compenser l’absence de McFlurry. La France qui se lève tôt préfère les calories artisanales !

À la place de Netflix : un bon vieux DVD de Télérama. Oui, ce bastion de la culture exigeante continue d’en vanter les mérites, comme si nos écrans Ultra HD n’existaient pas. Résultat ? “Les 400 Coups” en glorieux 576p, façon DivX récupéré en 2003 sur eMule. Un voyage dans le temps… involontaire.

À la place d’Apple et Android : Un bon vieux Nokia 3310, qui envoie des SMS et vous ramène aux joies des sonneries monophoniques. La batterie dure deux semaines, contrairement à vos iPhones qui meurent à midi.

À la place de Google : Firefox. C’est américain aussi, mais bon, ils sont moins méchants… Un peu comme choisir entre une extinction de la planète en 2050 ou en 2070. C’est ce que j’appelle un choix pragmatique.

À la place de Microsoft : Linux. Chaque euro dépensé pour Windows finance les actions humanitaires de Bill Gates. En choisissant Linux, vous préservez votre compte bancaire mais aussi, d’une certaine façon, vous coupez les vivres à une aide humanitaire basée sur le profit aux mains d’un milliardaire. La France a toujours été à l’avant-garde des paradoxes moraux.

À la place de Facebook, Instagram et WhatsApp : une bonne carte postale et un vieux timbre. C’est plus cher, on n’arrive jamais à déchiffrer ce qui est écrit dessus, mais au moins, La Poste ne revend pas vos données personnelles — elle les perd directement dans ses centres de tri. C’est ça, l’éthique à la française !

À la place de Nike : Adidas. Les trois bandes à la place de la virgule. Un grand choix idéologique… pour des baskets qui coûtent aussi cher et sont fabriquées dans les mêmes usines asiatiques. Mais elles sont allemandes, et l’amitié franco-allemande est le moteur de notre projet européen.

À la place d’Hollywood : Bollywood. Des films de trois heures, des chorégraphies époustouflantes, et des scénarios où l’hindouisme triomphe pendant que les autres religions sont gentiment reléguées en arrière-plan. Oui, c’est une autre vision du monde, mais au moins ce n’est pas américain. La diversité culturelle, c’est ça aussi.

À la place de Levi’s : 1083. Des jeans français, en circuit court, à 100% made in France. Un bel engagement… qui vous fera regretter, peut-être, le confort d’un bon vieux Levi’s usé juste comme il faut. Mais rappelez-vous : votre inconfort est le prix de notre souveraineté nationale ! N’est-ce pas là le sens de l’Histoire ?

ÊTES-NOUS TOUJOURS MOTIVÉS, CHERS COMPATRIOTES ?

L’Amérique a imprégné notre quotidien plus qu’on ne veut bien l’admettre. Pourra-t-on vraiment tout abandonner ? Ou bien allons-nous juste arrêter le Coca… tout en binge-watchant The Last of Us sur notre iPhone ?

Le combat pour l’indépendance est rude. Mais rassurez-vous… il restera toujours un Starbucks ouvert quelque part.

Pour la République ! Pour la Nation ! Pour notre Liberté de choisir entre Coca et Pepsi !

(Article rédigé avec l’aide de ChatGPT, parce que Claude s’est emballé et nous a pondu un discours digne d’un meeting de Mélenchon.)